Sophie Vitteaut

Le 15/02/2023

La souffrance est la cause principale pour débuter une psychothérapie ou une psychanalyse. Elle est d’ailleurs le premier élément examiné lors de l’entretien préliminaire.

Souffrir peut avoir de multiples causes et se manifester sous bien des formes :

• des symptômes psychiques, corporels ou organiques,
• des difficultés dans les différents domaines de la vie,
• des sentiments négatifs et lourds qui entravent le quotidien, etc.
• des idées noires allant jusqu’aux idées suicidaires, etc.

Que cette souffrance apparaisse après un évènement traumatisant ou qu’elle soit présente depuis toujours, tapie dans un coin de l’esprit, elle est le signe qu’il y a un problème et qu’il est temps d’entamer un travail sur soi-même pour en dénouer les causes.

Pourtant, il peut aussi arriver que nous puissions sentir une gêne dans notre vie sans ressentir pour autant de souffrance, ou, en tout cas, de souffrance manifeste.

Cette gêne peut aussi être un premier pas vers une psychothérapie. Chaque situation est singulière et doit être accueillie comme telle par le clinicien.

Quoiqu’il en soit, mettre des mots sur vos maux peut vous aider à en dénouer les causes et à en sortir. Une psychothérapie ou une psychanalyse, ça aide, car souffrir n’est pas une fatalité, ce n’est pas un mode de vie, il existe d’autres solutions. Et il n’y a aucune obligation à se maintenir dans une situation déplaisante, difficile à supporter voire invivable.

Si vous souffrez, vous n’êtes pas dans l’obligation de rester seul, vous pouvez vous faire aider pour avancer et apprendre à en savoir davantage sur vous-même.

Si vos moyens financiers sont un frein, le dispositif de la CPP a été mis en place et est pratiqué à cette consultation. La Consultation Publique de Psychanalyse est là pour permettre à toute personne qui a le désir de débuter une psychothérapie de pouvoir le faire car le prix des séances est adapté aux possibilités financières des personnes qui viennent consulter.